L’Association des juristes d’expression française du Manitoba (AJEFM) est un regroupement professionnel qui existe depuis plus de 30 ans.
Constituée en 1988, l’AJEFM investit beaucoup de temps et d’énergie pour revendiquer auprès du gouvernement provincial des services en français dans le domaine de la justice et du droit. Ces efforts visent à mettre en place les mécanismes nécessaires pour créer un climat dans lequel les Francophones se sentent parfaitement à l’aise de se servir de leur langue maternelle dans leurs communications avec les tribunaux et les bureaux gouvernementaux. Bref, ils ont pour but de faire en sorte que l’emploi du français devienne une réalité normale, c’est-à-dire une partie intégrante du vécu quotidien des gens.
Infojustice Manitoba offre des services d’information juridique, d’orientation, et d’accompagnement. Ces services sont confidentiels et offerts en personne ou par téléphone. Les services d’Infojustice sont offerts en complémentarité avec plusieurs organismes juridiques, gouvernementaux et communautaires afin de diriger les justiciables vers les ressources d’aide appropriées.
Nouvelles récentes
Communiqué de presse
L'Association des juristes d'expression française du Manitoba (AJEFM) se réjouit de la nomination récente de plusieurs juges bilingues. Ces nominations constituent un pas significatif vers la promotion d’une égalité linguistique réelle et de l'accès à la justice en...
La Cour du Banc du Roi du Manitoba renforce les exigences procédurales en matière d’interprétation des lois bilingues
Dans la foulée de la décision récente 5185603 Manitoba Ltd et al v Government of Manitoba et al, 2023 MBCA 47, la Cour du Banc du Roi du Manitoba a publié une directive de pratique exigeant que, dans les affaires portant sur l'interprétation de lois bilingues, les...
Une cause qui pourrait être majeure pour la francophonie canadienne
Plusieurs organismes juridiques au pays ont fait une demande aupres de la Cour supreme du Canada afin d'etre entendus directement en francais par les tribunaux. Veuillez cliquer ici pour lire l'article du journal La Liberté au complet.